IMT Propulser l’avenir pour le secteur de l’énergie en Alberta 2007-2012
Ce n’est qu’en constituant des bassins suffisants de talents qualifiés que nous garantirons la stabilité à long terme de la production d’électricité canadienne.
Rapport du Programme de l’Information sur le marché du travail 2007-2012 de RHIEC
En 2008, RHIEC – en partenariat avec Emploi et Développement social Canada (EDSC) – a commandé une étude sur le marché du travail pour le secteur canadien de l’électricité, et ce, afin de mieux déterminer les écarts entre l’offre et la demande de main-d’œuvre.
L’étude s’est d’abord penchée sur le nombre de travailleur·euse·s requis·e·s pour œuvrer dans 15 professions essentielles, et s’est ensuite concentrée sur les éventuels endroits où trouver ces travailleur·euse·s. De plus, elle a permis d’explorer les facteurs affectant actuellement le secteur, notamment, les changements technologiques, le vieillissement des infrastructures et l’accroissement de la demande en énergie.
Ce n’est qu’en constituant des bassins suffisants de travailleur·euse·s qualifié·e·s que nous serons en mesure de garantir la stabilité à long terme de la production d’électricité canadienne. Pour que cela soit possible, il est crucial que les employeur·euse·s, les éducateur·rice·s et les décideur·euse·s aient une compréhension approfondie des problèmes liés aux ressources humaines. L’objectif immuable du programme IMT est d’aider les professionnel·le·s de l’industrie à planifier efficacement les stratégies en matière de ressources humaines. En utilisant les données du projet IMT, RHIEC a produit le Rapport IMT Propulser l’avenir. Une version abrégée est également disponible (en anglais), ainsi qu’une brochure sommaire (en anglais).
Méthodes de recherche
Les données figurant dans Propulser l’avenir représentent le fruit de considérables efforts de recherche et d’activités de consultation. Parmi ces activités, notons :
- Des sondages auprès de 87 employeurs, dont 23 grands producteurs primaires et 64 petits ou moyens producteurs primaires, ou encore des employeurs dont les activités principales n’étaient pas dans le secteur de l’électricité;
- Des sondages auprès de 35 établissements d’enseignement ou de formation proposant des cours ou des programmes liés au secteur de l’électricité;
- Des entretiens avec 12 représentant·e·s d’institutions de formation;
- D’autres recherches secondaires, y compris : une analyse documentaire; un examen des bases de données statistiques; une analyse de Statistique Canada en 2006 sur les données relatives à l’obtention du diplôme d’études postsecondaires; et une analyse du nombre d’inscriptions et de diplômé·e·s aux stages d’apprentissage en électricité.