Technicien·ne en protection et contrôle de l’alimentation électrique

Les technicien·ne·s en protection et contrôle de l’alimentation électrique s’occupent d’installer, mettre en service, entretenir, dépanner et réparer les équipements essentiels du système, lesquels sont utilisés pour détecter les défaillances du système d’alimentation et y réagir, contrôler les dispositifs du système, et évaluer les données du réseau et des télécommunications d’une région ou zone donnée.

Ils·elles peuvent également exécuter des fonctions de conception sous la supervision d’ingénieur·e·s professionnel·le·s. Ils·elles sont à l’emploi des services publics d’électricité et des entrepreneur·e·s privé·e·s en électricité. L’éventail de leurs tâches et responsabilités varie en fonction du type d’opérations associées à leur emploi.

Exigences de formation :
L’achèvement d’un programme de trois ans en électricité, électronique ou instrumentation et contrôle d’un collège ou d’une école professionnelle est habituellement exigé; une formation supplémentaire en protection et contrôle des relais (postsecondaire ou à l’interne) est souvent exigée.

Normes professionnelles nationales

Les normes professionnelles nationales constituent un point de référence en matière de connaissances et d’aptitudes requises pour disposer des compétences nécessaires dans une profession donnée. Élaborées par des titulaires actuel·le·s, les normes professionnelles nationales sont un ensemble de compétences individuelles qui fournissent un aperçu global d’une profession.

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Code CNP associé :

• 22310 – Technologues et techniciens/techniciennes en génie électrique et électronique

• Plusieurs travailleur·euse·s, comme les arboristes de services publics et les releveur·euse·s de compteurs, passent leurs journées à l’extérieur et sont exposé·e·s à des conditions météorologiques difficiles, notamment une chaleur et un froid intenses, et à des intempéries (telles que des tempêtes de neige et de verglas, des vents violents et de la pluie).
• Plusieurs travailleur·euse·s, comme les arboristes de services publics et les technicien·ne·s en éoliennes, sont amené·e·s à travailler quotidiennement en hauteur. Ils·elles pourraient même devoir grimper manuellement aux arbres et doivent être capables d’utiliser des nacelles élévatrices et des camions-nacelles.
• Plusieurs technicien·ne·s, mécanicien·ne·s et électricien·ne·s sont également amené·e·s à travailler dans des espaces confinés.
• Les travailleur·euse·s en entretien des biens doivent souvent faire preuve de dextérité manuelle et d’une certaine flexibilité et force physique pour effectuer leur travail d’entretien et de réparation.